Le numérique métamorphose le monde de l’art

monde de l'art

Publié le : 23 février 20174 mins de lecture

L’expansion numérique a été reçue de façon quasi-messianique. Vu tel un vecteur d’un nouvel aspect de citoyenneté ou d’échange, et d’une néo-transmission de données concrètement grand public, le progrès numérique devait fermement métamorphoser notre relation à l’existant. L’art numérique représente un ouvrage à accomplir, au lieu d’une œuvre déjà existante.

Description du net.art

L’interaction de l’art avec les gens représente un effet consubstantiel à son mode de vie, son vécu, sans aucune frontière. La création de net.art ne se termine jamais. De ce fait, tout chef-d’œuvre conçu au moyen d’accessoires numériques ou bien émis sur un support numérique n’est nullement net.art. Pour appartenir à cette classe, la présence même de l’ouvrage doit résulter de l’interaction avec son auditeur. L’idée de concepteur de l’œuvre est remise en cause. Le public prend la place de co-auteur, développeur et voire même webmestre. L’œuvre reste accessible en ligne, à toute heure et en tout endroit, par des quantités de visiteurs de concert.

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Le paradoxe de l’art numérique

Les progrès réalisés paraissent néanmoins arborer un paradoxe : ils sont à la fois illimités et modiques. Par conséquent, approximativement 75 % des galeries françaises disposent d’une appellation virtuelle (site et existence sur les réseaux sociaux), mais exclusivement 5 à 10 % de ces institutions présentent un support se servant d’un média numérique. Ce paradoxe infère de la cessation graduelle entre les grands muséums nationaux et les établissements plus simples. Le musée offre des iPod Touch allouant une interactivité progressive, une prestation de géolocalisation et une éventualité d’échange de donnée via mail ou réseaux sociaux.

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Exemple de métamorphose d’art net

Bansky représente un créateur d’art numérique qui sait minutieusement administrer son image, et la faire bonifier. Ainsi, son usage promotionnel de la toile a été représentatif et a déclenché des énigmes et réserves adéquates dans l’univers de l’art. En octobre 2 013 son œuvre la résidence de Banksy, à New-York a confirmé la célébrité du star et a été dénommée Better Out than In. On parle donc de paradoxe captivant, vu que si les pièces de l’ouvrage étaient créées dans la rue, il n’en reste pas moins que c’est visiblement sur la toile que sa visibilité s’avère cruciale et que l’événement a acquis une ampleur internationale. Chaque jour, Banksy publiait ses œuvres et ses exploits, et les nouvelles sont séance tenante alternées par multiples médias et réseaux sociaux. Ainsi banksyny devient l’un des mots-clés les plus connus sur Twitter.

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