75 % des musées français ont une identité virtuelle

Publié le : 04 mai 20216 mins de lecture

Le concept de « virtuel » est bien vivant dans les temps modernes. Depuis les années 80, cet indicateur est également utilisé pour indiquer ce qui se passe sur l’ordinateur ou sur Internet, c’est-à-dire dans le « monde numérique ». Ce qui est vraiment le cas des 75 % des  musées français.

75 % des musées en France ont leur propre identité

Le concept d’identité virtuelle des musées est né il y a seulement quelques décennies le premier et indéniable constat est que les institutions culturelles travaillent désormais dur pour assurer une transition vers l’ère numérique. Cependant, des progrès ont été faits à l’envers : étonnants et non pas minute par minute. Médias. Ce paradis se caractérise par un nombre croissant de grands musées et de modestes installations. En fait, le développement technique et l’innovation : fin 2013, le MoMA a lancé le programme MoMA Audio + pour remplacer l’ancien guide audio. Le musée propose un appareil mobile iPod Touch avec une connectivité améliorée, un service de géolocalisation et la possibilité de partager du contenu par e-mail ou sur le réseau. Prototype en tant qu’application pour smartphone téléchargée. En 2014, les nouveaux systèmes de navigation permettant aux applications de personnaliser leur contenu en fonction de la localisation d’un visiteur étaient très populaires.

Il n’est pas rare de voir des « administrateurs de communauté » dans les musées

Aujourd’hui, les grandes organisations comme le MoMA peuvent offrir une variété de services basés sur l’innovation technique, si elles ont les ressources pour mener à bien un tel projet. Il n’est pas surprenant que les musées soient des « administrateurs communautaires » chargés d’élaborer des politiques solides en matière de médias sociaux. Néanmoins, pour le vrai public, l’impact et la fonction de la politique ne sont pas encore clairs. De nombreux musées sont en ligne et revêt l’identité virtuelle des musées », mais n’ont pas de projet spécifique, et le degré de réussite des événements varie considérablement. Toutefois, la question demeure : cette politique appuie-t-elle la démocratisation de l’art ? Créez-vous de nouveaux disciples ? En fait, « Suivre » sur Twitter ou « J’aime » sur Facebook est, en un sens, la preuve d’être membre de l’organisation, et de nombreux musées moins connus ont du mal à recueillir suffisamment d’audience. La concurrence se fait de plus en plus sans pitié et l’écart se creuse : la réputation et les ressources des renommées musées de la nation donnent la possibilité au développement de la politique numérique de passer très rapidement à une politique secrète pour les institutions. Lorsque le MoMA a publié 1,5 million de « j’aime » sur Facebook, le Musée d’art moderne de Paris, si connu, ne comptait que 85 000 membres, 17 fois moins que le nombre de membres virtuels. Pendant ce temps, le MoMA n’obtient même pas quatre fois le nombre de visiteurs par an.

Le numérique comme acte ou objet – un artiste de la dématérialisation

Dans un article du magazine Art & Technology, Pierre Francastel a déclaré : « Le monde de l’art n’est pas autant que possible. L’art et la technologie ne sont pas deux manières d’exprimer et de confronter des idées et des spéculations. Qui sont ces deux sphères qui peuvent être connectées, et de créer quelque chose de nouveau pour tous ? En se basant sur le matérialisme de leur temps, les artistes appliquent souvent des innovations technologiques complexes et sans faille ou proposent une vision philosophique dans leur discours, même lorsqu’il se déroule de manière continue, de manière naturelle. Le développement rapide de l’ère numérique et permettant le concept de l’identité virtuelle des musées n’attire pas les artistes. Ainsi, depuis les années 1990, lorsque son intérêt pour le cinéma a commencé, l’Américain Douglas Davis a cherché sur Internet de nouveaux outils et a senti le potentiel d’Internet en tant que participant au réseau. Au Lehmann College, il a créé sa première phrase collaborative en 1994 ou le premier sentiment de collaboration au monde. Cela commence par une phrase : “Je ne me sens pas isolé, je me sens proche des autres, même si on est à des milliers de kilomètres, et je demande aux internautes de continuer. Depuis six ans, 200 000 personnes sont impliquées dans ce projet.

Web 2.0 amène l’art à l’ère numérique

 Enfin, le numérique a entraîné un profond changement dans le monde de l’art, notamment l’identité virtuelle des musées, en suivant de près certains développements sur Internet. En fait, Online 1.0, caractérisé par l’agrégation du réseau dans les années 1990 et au début des années 2000, a utilisé les premières innovations dans la recherche artistique, mais il était de nature relativement secrète. En effet, avec l’avènement d’Internet 2.0 en 2004, axé sur la communication, le soutien interne et la collaboration, le monde de l’art a émergé à l’ère du numérique. L’accroissement des musées, des médias sociaux, l’extension de contenu marketing en ligne. Au sens du numérique, le monde de l’art remplace ainsi la volonté de démocratiser, d’utiliser commercial et de développer la philosophie et la technologie, ainsi que les dernières innovations évoluant avec Internet 3.0 — Internet des objets et Internet sémantique — le Big Data, le cloud. Les ordinateurs et même l’impression 3D ont annoncé de nouvelles révolutions et des faits bouleversés pour le monde de l’art.

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